mardi 31 janvier 2012

Top Ten Tuesday - Les 10 livres que tout le monde a aimé sauf vous

Je rejoins Iluze et Iani dans cette aventure qui me semble passionnante, j'adore en tout cas le concept ! Il s'agit de proposer chaque mardi un top 10 littéraire selon la thématique choisie. L’idée originale est de The broke and the bookish et Iani s'est occupée de lancer la version française !

Le thème de cette semaine est donc : Les 10 livres que tout le monde a aimé sauf vous !

1. La route - Cormac McCarthy
Un livre que j'ai trouvé lent ! J'ai trouvé qu'il ne s'y passait rien ! Ou toujours la même chose... Il m'a semblé interminable et son atmosphère m'a étouffée ! Je n'ai pas réussi à le finir. Détails

2. Ainsi parlait Zarathoustra - Friedrich Nietzsche

 Le fait de dire que je l'ai abandonné m'avait presque attiré les foudres des lecteurs sur Internet. La philosophie pour moi c'est la vie, j'adore et je respecte énormément Nietzsche mais je pense qu'après avoir lu Par-delà le bien et le mal que j'avais dévoré, j'ai trouvé celui-ci redondant, les mêmes pensées se répétaient et étaient moins évoluées que dans l'autre, alors j'ai laissé tomber. Détails

3. La rêveuse d'Ostende - Eric-Emmanuel Schmitt
Je me suis ennuyée tout simplement, j'ai lu juste la première nouvelle, puis j'ai fermé le livre. J'étais une grande fan de Schmitt il y a environ 8 ans (quand même !), je ne sais pas si c'est une question d'âge, d'état d'esprit, ou du style de Schmitt dans ce livre, en tout cas je n'ai pas aimé. Détails

4. Ça - Stephen King
Depuis le temps où j'entends parler de Stephen King et de tous ses millions de fans sur la planète, je me suis dit que je devrai essayer, même s'il ne m'a jamais attirée lorsque je le vois en librairie. C'était donc mon premier essai avec cet auteur, mais je n'ai pas accroché et apparemment j'ai choisi le mauvais livre pour découvrir King, mais au bout de 200 pages l'histoire n'avait toujours pas commencé... C'est vrai qu'il y a quelque chose que j'ai aimé dans son style, son approche psychologique des personnages je pense, et ça sentait le récit américain... Mais j'ai fini par abandonner le livre. Je compte quand même redécouvrir l'auteur avec un autre livre et reprendre cette lecture plus tard. Je ne l'ai pas abandonné définitivement !

5. Aïcha, la bien-aimée du prophète - Geneviève Chauvel
Un livre, dont j'avais entendu beaucoup de bien, mais grosse déception une fois tenu entre les mains. Bourré de mensonges ou en tout cas de fausses informations. Toute l'histoire est erronée, sinon une très grande partie. Quand on n'est pas religieux, je pense qu'on s'en fou et on s'accroche à l'histoire du roman, mais lorsqu'on connait l'histoire réelle et qu'on accorde un grand respect et beaucoup d'importance à la religion, on trouve ce livre scandaleux ! Détails

6. La Carte et le territoire - Michel Houellebecq
 Un livre où mon avis reste mitigé. C'est un livre que j'ai abandonné après 20 pages... Autant dire que je ne l'ai pas lu. Mais j'ai tellement eu de mauvais échos sur l'auteur que je le rejette d'avance... Je l'avais vu dans des émissions télé et il ne m'avait pas plu du tout. J'avais lu un texte sur lui écrit par Nabe, j'ai été séduite par Nabe et ma position a été encore plus renforcée concernant cet auteur... Je l'ai abandonné la semaine dernière je crois, et depuis en fait je culpabilise parce que je ne lui ai pas vraiment donné sa chance, du coup je compte reprendre cette lecture très vite, comme ça ce sera fait !

7. American Psycho - Bret Easton Ellis
Un livre qui m'avait révoltée et dégoutée en le lisant, puis je l'ai mieux compris en lisant Lunar Park, mais avec du recul je n'apprécie toujours pas comment il s'y est pris pour faire passer le message. Détails

8. Le journal - Anne Frank
Je me suis ennuyée tout simplement et je l'ai abandonné.

9. Le prophète - Khalil Gibran
J'ai aimé quelques parties et moins aimé d'autres.J'en garde le souvenir d'un mouais.

10. Le sumo qui ne pouvait pas grossir - Eric-Emmanuel Schmitt
J'en attendais beaucoup de ce livre, Schmitt + Japon et le titre avait l'air parfait, mais le livre était malheureusement creux. On n'y retrouve ni la profondeur du Japon ni le talent de Schmitt. C'est bien dommage, pour ma part j'ai bien senti que l'inspiration n'était pas au rendez-vous ! Détails

dimanche 29 janvier 2012

Pourquoi lisez-vous ?



Quand on n'arrive plus à apprécier les Grands, comme Kafka, je me demande si les livres commerciaux d'aujourd'hui n'abrutissent pas la population.

Je lis de plus en plus de critiques littéraires, où l'on n'accorde pas aux grands auteurs leur vraie valeur. En plus du fait qu'ils ne sont pas aussi lus que le contemporain, la fantasy ou la bit lit de nos jours, mais lorsque c'est fait, on constate que le lecteur s'est ennuyé, il a eu du mal à finir le livre et je suppose que dans la plupart des cas, la dernière page est tournée, le livre rangé, et le lecteur n'a pas compris ce que l'auteur a essayé de lui dire durant ces centaines de pages.

Ce qui nous donne à la fin une critique légère où le lecteur s'étonne d'avoir eu besoin de trois jours pour finir 300 pages alors que d'habitude, pour les autres livres, il les dévore en moins d'une heure... Il trouve le style froid et il reste insensible au livre. Il ferme un Orwell en lançant un mouais, j'ai pas aimé ! Mais tout ça, moi, me fait réfléchir.

Quand on n'arrive plus à apprécier ni à reconnaître les grands penseurs de l'humanité, je trouve ça un peu grave. Comme si la littérature aussi devenait superficielle. De nos jours, tout le monde écrit des livres. C'est devenu facile. C'est devenu un business comme un autre. L'essence de l'écriture s'est évaporée et je trouve ça très dommage. 

Mais bon, je pense que chacun de nous lit pour une raison, et ce que cherche chacun à travers la lecture définit ses choix, et évidemment chaque choix se respecte. 

Je pense que certains lisent pour se divertir, d'autres lisent pour apprendre des leçons de vie de celles des autres, et enfin il y a ceux qui lisent essentiellement des essais et les livres des plus grands écrivains et penseurs pour la plupart morts il y a belle lurette !

Et là je me dis que peut-être à force de produire des livres uniquement divertissants pour les jeunes, et s'ils ne lisent que ces livres pendant un bon bout de temps, ils ne seront plus capables de suivre Kafka, Tolstoï ou Nietzsche... etc. Ils les trouveront froids, pessimistes et les balaieront d'un geste de la main. Ça me dérange. 

J'ai toujours vu l'écriture comme un trésor, une trace laissée dans ce monde, une trace de nos pensées, qui nous survivra. Et si l'on a tenu à laisser cette trace c'est parce qu'il y avait des messages importants à nous transmettre, c'est aussi parce qu'ils sont arrivés à des vérités qu'ils avaient peur de voir disparaître avec eux, et qui étaient assez importantes pour eux pour estimer qu'elles doivent rester en vie et soient transmises aux générations futures. 

C'est pour ça que j'aime les livres et l'écriture, et ce sont ces livres qui m'intéressent avant tout. Il y a des livres à lire obligatoirement pour en apprendre plus sur notre monde, sur nous-même, sur notre Univers, sur les autres et sur tout le reste. Une fois ces grands livres lus, nous pourrons ensuite passer aux livres divertissants, ou faire des pauses de nos lectures sérieuses de temps à autre pour lire des livres de divertissement.

Je n'ai souvent lu que des essais et des oeuvres que j'estime devoir lire avant de mourir et le plus tôt possible, parce que j'estime que nous existons aussi pour poursuivre le travail de ces penseurs, pour que l'esprit humain continue d'évoluer, et que nous ne sommes pas là que pour consommer et chier. Les romans étaient pour moi un divertissement et je les considérais presque comme une perte d'argent et de temps. Puis j'ai découvert Livraddict et je me suis mise à lire beaucoup de romans depuis un an. Cette année, j'ai décidé de participer à plusieurs challenges pour découvrir différents genres que je n'ai jamais lus comme les mangas ou la fantasy. C'est pour dire que je ne me ferme pas aux autres genres et que j'aime bien explorer de nouveaux horizons.

Maintenant, évidemment, chacun lit pour ses propres raisons comme j'ai dit mais je trouve quand même dommage de passer à côté de grands penseurs, ou de tenir leurs livres entre les mains sans se douter du poids du savoir qu'ils contiennent, et les mettre sur le même pied d'égalité que des romans de divertissement qu'on lit en quelques heures. Alors que ces livres méritent qu'on s'arrête plusieurs fois, qu'on les analyse, qu'on les relise, souvent, pour mieux les comprendre. 

Ou alors, nous sommes la génération du zapping, la génération pressée, pressée de tourner le nombre maximum de pages et de dévorer un maximum de livres, qui n'a plus le temps de s'arrêter et réfléchir, qui n'a plus le temps pour rien en fait, et qui ne fait pas trop la différence entre la quantité et la qualité. On n'a plus d'yeux que pour les paillettes, le brillant et le sucré.

vendredi 27 janvier 2012

La couleur de la haine - Malorie Blackman


Je viens de finir ce second tome de la saga Entre chiens et loups. Tout comme le premier, je l'ai lu très vite, en deux jours avec le boulot. Toujours aussi poignant que le premier et je pense qu'il sera le plus dur à lire, pour moi en tout cas, le titre est clair, c'est le tome le plus négatif je pense. La haine. Tout ce que je n'aime pas. Mais Malorie Blackman est une excellente écrivaine ! Je pense bien que je vais lire tous ses autres livres en dehors de cette magnifique saga, à commencer par Boys don't cry, son dernier livre publié en 2011.

Très rares sont les livres qui me font pleurer, le premier a été Dans un miroir obscur, de Jostein Gaarder. Le meilleur esprit de la planète. En lisant la couleur de la haine, j'avais les larmes aux bord des yeux, mais la colère aussi qui faisait battre mes tempes, oui à ce point ! C'est une saga très forte en émotions ! Et c'est une saga aussi très intelligente. Je suis bien contente si c'est de la littérature jeunesse et si les adolescents d'aujourd'hui lisent ça, ça les changera de My super sweet sixteen sur MTV !

Un livre sur la différence, le racisme, l'amour, la haine présente dans notre société, une haine bornée à voir nos différences, oubliant que nous sommes tous pareils et une société où l'égalité relève de l'utopie.

C'est une histoire d'amour, difficile mais pas impossible. Le prix à payer est cher, trop cher. C'est une excellente saga que je recommande vivement à chacun. Malorie Blackman y démontre une ouverture d'esprit exemplaire. Cette saga est son cri contre cette injustice humaine absurde, et son cri est perçant !

jeudi 26 janvier 2012

Nous sommes un recueil de livres



Après l'avoir lu chez Blanche de Castille qui elle-même l'a découvert chez L'insatiable qui elle-même l'a... etc. J'ai décidé de répondre également à ce tag littéraire très sympa !

Il s'agit de répondre à ces questions par des titres de romans, rien que ça !

Comment te sens tu ? Ni d'Eve ni d'Adam
 
Décris là où tu vis actuellement : Le vrai monde

Si tu pouvais aller n’importe où, où irais tu ? Le château des Pyrénées

Ton, ta, tes meilleur(es) ami(es) est (sont) : Le chaos et l'harmonie

Toi et tes amis, vous êtes : Ensemble, c'est tout

Comment est le temps ? Moins Que Zéro

Ton moment préféré de la journée : Voyage au bout de la nuit

Ton animal préféré : De l'eau pour les éléphants / Le totem du loup

Ton moyen de transport préféré : Les amants du Spoutnik

Ta passion : Les lois de l'attraction

Le défaut qui t’horripile : Orgueil et préjugés

Le métier qui te fait rêver : L'homme qui exauce les vœux

Ton histoire d’amour : Auprès de moi toujours

Qu’est ce que la vie pour toi : Par-delà le bien et le mal

Ta peur : Nos amis les humains

 Pensée du jour : La couleur de la haine

Comment aimerais tu mourir : La mort heureuse

La condition actuelle de mon âme : L'insoutenable légèreté de l'être

Ton rêve le plus cher : Le mystère de la patience

Quel est le meilleur conseil que tu as à donner : Le livre tibétain de la vie et de la mort

mardi 24 janvier 2012

1984 - George Orwell


Alors, comment dire ? Jamais un livre ne m'aura atteinte comme celui-la. M'atteindre au point de remettre en question ma vie quotidienne et comment je comptais la mener jusque là. Il a réussi à m'arrêter en plein jeu pour me demander de revoir mes cartes et ma stratégie. On en sort pas indemne de cette lecture, surtout si l'on est comme moi. C'est à dire du genre à croire ce qu'on lit. Je suis comme Winston et ceci est le livre.

Tout en lisant, j'ai eu beaucoup de mal à croire que ce livre a été écrit entre 1944 et 1949, jamais vu un auteur aussi visionnaire, un véritable génie ! Si ce livre a été de la fiction à cette époque, aujourd'hui il ne l'est plus qu'à 20% parce que les 80% sont totalement réels et reflètent notre monde actuel aujourd'hui.

Ce livre parle d'un monde dirigé par trois grands états à puissance égale, l'Eurasie, l'Estasie et l'Océanie. Trois grands états qui ont décidé de mener une guerre perpétuelle, une guerre où aucun d'eux ne sera jamais ni gagnant ni perdant, parce que la fin de la guerre ne rendrait service à aucun d'eux, et ça me fait penser à la guerre en Palestine, au Sahara marocain et bien d'autres... Le monde est arrivé à un stade où il est capable de produire assez pour les habitants de la planète entière, de sorte à ce que la pauvreté n'existe plus, l'ignorance non plus, ni l'illettrisme... etc. mais le confort est synonyme de temps libre pour réfléchir et l'éveil de l'intelligence, et ceci ne les intéresse pas si ça doit s'étaler à l'échelle mondiale. Si tout le monde s'éveille, ils disparaîtraient. 

Orwell décrit un monde dirigé par une minorité. Une minorité dirige, une minorité offre un certain mode de vie privilégié à une petite catégorie, une petite catégorie qui n'en est pas moins abrutie. Une petite catégorie qui vit dans le confort pour servir la partie dirigeante. Une petite catégorie qui, puisqu'elle est la plus proche des dirigeants et doit les servir, est celle qui ne doit jamais se rebeller contre eux. Alors on lui fait un lavage de cerveau, on lui fait croire que le vrai c'est le faux, et le faux c'est le vrai. La double pensée devient la norme, le passé et l'Histoire deviennent ce que cette minorité veut qu'ils soient, après tout qui raconte le passé à part eux ? On ne distingue plus rien. Tout va bien. La schizophrénie devient l'état normal des choses.

Par contre les prolétaires, on s'en fou ! Ils sont assez préoccupés par leur quotidien fait de misère et la lutte quotidienne pour la survie. Ils ne se rebelleront jamais. Ils ont beau être beaucoup plus nombreux, ça n'arrivera jamais. 

Orwell a imaginé des télécrans dans chaque maison, un écran qui permet aux dirigeants de voir et entendre tout ce qui se passe chez vous 24h/24, et ça m'a fait penser à Internet et aux réseaux sociaux.

Il a imaginé un monde où les enfants sont fascinés par l'espionnage, les guerres et les pendaisons, et ça m'a fait penser à tous ces jeux vidéos de guerre qui fascinent les enfants aujourd'hui et j'en passe...

Il a imaginé un monde où les alliés deviennent ennemis du jour au lendemain et on ne s'en étonne même pas, comme si ça a toujours été le cas. Hier votre Etat était l'ami d'un autre état et demain il vous annonce qu'ils sont en guerre et le surlendemain ils redeviennent alliés et ça ne surprend personne. Le passé est supprimé des mémoires sous un flux incroyable d'informations de toutes parts (les médias) et seul le présent devient vérité absolue. Et ça me rappelle tous ces chefs d'Etats arabes qui étaient amis des Etats-Unis et autres pays et sont devenus leurs ennemis du jour au lendemain, Saddam Hussein, Housni Mubarak, Zine Abidine Ben Ali, Kaddafi... Des personnalités qui étaient accueillies à bras ouverts, à qui l'on serrait la main et qu'on assassine dans un trou le lendemain parce que c'est un ennemi. Oui, il a toujours été notre ennemi. Comment ça non ? 2 + 2 = 5 puisque je vous le dis. Il faut avaler la pilule sans discuter. Éteindre son cerveau et se soumettre au pouvoir.

Il a aussi imaginé un monde où ces mêmes dirigeants nous font croire que la qualité de vie va en s'améliorant avec les années, en nous gavant de chiffres qu'on ne peut contrôler après tout. Il est même allé plus loin et a imaginé un comité spécialisé dans la réécriture du passé en fonction du présent. L'Histoire ne survit après tout qu'à travers les documents et les mémoires des Hommes, ils s'occupaient des deux. Et ceci m'a fait penser aux différentes versions de la bible.

A la fin du livre, et après un début de réflexion, je me suis dit qu'en fait on a le choix : accepter le mensonge et vivre en nous convaincant qu'il n'en est pas un, ou résister, ne pas renoncer à la vérité et vivre en luttant toute sa vie, en étant préparé au pire, parce qu'on a toujours mené la vie dure aux défenseurs de la vérité et parce qu'ils ne se lasseront pas de nous brouiller les pistes jusqu'à s'assurer que nous sommes totalement perdus.


Un livre qui donne froid dans le dos, du fait d'être trop réel. Je l'ai vécu comme une torture et une grande frustration. Il faut être fort pour pouvoir entendre la vérité et tout le monde ne choisit pas d'être aussi fort.



"L'Homme n'est pas beau à voir" aurait tout aussi bien pu être le titre de ce livre.


"Ce que je veux dire, c'est que nous sommes en guerre" dit-il et je sais très bien ce que tu veux dire George, je l'ai moi-même écrit tellement de fois.

Tout ce que je peux dire devant une aussi grande oeuvre : je m'incline !

Mon score : 7/26



vendredi 13 janvier 2012

Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi - Katherine Pancol



Voilà, la saga c'est fini ! Si seulement tous les romans que je lis étaient comme cette saga ! Des livres qui m'accompagnent dans ma vie de tous les jours, à chaque instant, qui m'emportent, au lieu de constituer un poids ou des livres à lire juste pour les finir et passer à d'autres, des livres que je lis souvent en comptant le nombre de pages qui me restent à lire avant de finir le chapitre, la partie, puis le livre. ça n'a pas du tout été le cas avec cette saga, je ne réalisais jamais le nombre de pages tournées et j'étais trop à l'intérieur de l'histoire pour m'en soucier !
Rares sont les livres qui donnent tellement de vie à leurs personnages, à tel point que tu commences à les confondre avec ta vie réelle, ça dépasse l'attachement aux personnages, tu commences à vivre avec eux, ou eux avec toi...
J'aime la simplicité de Pancol lorsqu'elle exprime ses idées, voilà. Ses phrases sont courtes. Ses phrases sont  claires. Ses phrases sont jolies et délicieuses. Un vrai régal !
Et puis, elle m'a appris comment on écrit un roman, en tout cas la leçon n°1, c'est elle qui me l'a enseignée, il y en aura sûrement d'autres à venir !

Score actuel : 5/26



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