J'ai malheureusement dû abandonner ce roman au bout de 67% de lecture. Je l'aimais bien au début, ça se lit plutôt vite, c'est une écriture simple, une histoire douillette. Une histoire de vieilles personnes, et d'enfants, puis d'un couple marié qui ne se supporte plus.
C'est une histoire qui se déroule dans une ferme, où un petit groupe de grands-parents se forme et décide de vivre sous le même toit pour échapper à la solitude.
Je crois que c'est une histoire qui se lit en hiver, à côté d'une cheminée, avec un chat sur les genoux. Je crois que je l'ai lu au mauvais moment.
Le rythme est lent, ça va au rythme de vie d'une personne de 80 ans. C'est une lecture attendrissante, qui fait sourire... mais qui ennuie aussi parfois.
Si vous avez envie d'une lecture sans prise de tête, je crois que ça vous plaira.
Ceci dit, je reste un peu intriguée quand même, vu que je n'ai toujours pas rencontré Paulette à ce niveau de lecture...
C'est une histoire qui se déroule dans une ferme, où un petit groupe de grands-parents se forme et décide de vivre sous le même toit pour échapper à la solitude.
Je crois que c'est une histoire qui se lit en hiver, à côté d'une cheminée, avec un chat sur les genoux. Je crois que je l'ai lu au mauvais moment.
Le rythme est lent, ça va au rythme de vie d'une personne de 80 ans. C'est une lecture attendrissante, qui fait sourire... mais qui ennuie aussi parfois.
Si vous avez envie d'une lecture sans prise de tête, je crois que ça vous plaira.
Ceci dit, je reste un peu intriguée quand même, vu que je n'ai toujours pas rencontré Paulette à ce niveau de lecture...
4 commentaires:
moi j'avais bien aimé mais oui en effet, il faut attendre la toute fin pour voir Paulette ;)
A mon humble avis, un roman ne devrait pas se contenter de raconter une histoire, aussi agréable soit elle (car d’autres supports sont capables de mieux représenter cela : séries télévisées, films, BDs, documentaires, etc).
Le roman devrait se concentrer sur ce que seul le roman peut dire (il s’agit là d’un principe de l’art du roman : ce principe initié, si ma mémoire est bonne, par Witold Gombrowicz et développé par Milan Kundera dans ces essais).
Une citation qui corrobore un peu cette introduction que j’aime partager :
Dans un monde abandonné par la philosophie et où la science est fractionnée en milliers de spécialisations, le Roman reste comme le dernier observatoire de la condition humaine.
Malheureusement, Paulette se découvre à la toute dernière page! C'est dommage que tu sois passée à côté de cette lecture... Je l'ai dévorée cet été.
J'avais déjà lu le premier livre -il me semble- de cette auteure. Et je l'avais détesté. J'aime beaucoup les phrases métaphoriques, les destins tragiques, or j'ai trouvé le style bien trop simple, l'histoire ô combien longue... Je ne suis donc vraiment pas tentée pour lire un nouveau livre de Barbara Constantine!
Enregistrer un commentaire