Quel livre étrange, quelle histoire mystérieuse, et quel pays mythique que le Japon ! Soie est une histoire de découverte de soi, de désir... mais quels que soient les mots que je chercherai, ils resteraient incomplets. Soie est une histoire courte pourtant, mais elle continue de m'échapper.
En quelques mots, Alessandro Baricco a su raconter une histoire énigmatique et dense. Son style poétique m'a fait penser à Maxence Fermine, la longueur du livre aussi sans doute, puis le thème m'a fait penser à Neige. Mais la ressemblance s'arrête là.
Si Maxence Fermine arrive à me faire voyager d'une façon instantanée, ses romans sont souvent une source de détente et de jouissance, or Alessandro Baricco m'a tenue prisonnière de son récit. Le voyage a été très beau, mais pénible. J'avais l'impression qu'une menace me guettait, qu'une catastrophe allait éclater d'un instant à l'autre, il y avait des ondes négatives dans l'air. On sent que quelque chose de très grave va se passer mais on ne sait pas ce que c'est. J'aimais cette lecture mais je ressentais le besoin de faire des pauses souvent, question de reprendre mon souffle, parce qu'on ne sait jamais quand ça va nous tomber dessus...
L'histoire se déroule dans les années 1860... entre la France et le Japon. Hervé Joncourt est un commerçant de soie qui va effectuer plusieurs voyages au Japon pour se procurer des œufs de vers à soie. Il sera accueilli par un maître japonais, à côté de lui, une jeune femme allongée et la tête posée sur ses genoux, elle n'avait pas des yeux d'orientale...
Je ne vous en dis pas plus, je vous laisserai le soin de le découvrir et de vivre votre propre expérience avec cette histoire. J'ai essayé de vous transmettre ici mon ressenti et voici une belle analyse qui vous donnera certainement envie de vous y mettre...
Voici une autre chronique sur ce livre...
En quelques mots, Alessandro Baricco a su raconter une histoire énigmatique et dense. Son style poétique m'a fait penser à Maxence Fermine, la longueur du livre aussi sans doute, puis le thème m'a fait penser à Neige. Mais la ressemblance s'arrête là.
Si Maxence Fermine arrive à me faire voyager d'une façon instantanée, ses romans sont souvent une source de détente et de jouissance, or Alessandro Baricco m'a tenue prisonnière de son récit. Le voyage a été très beau, mais pénible. J'avais l'impression qu'une menace me guettait, qu'une catastrophe allait éclater d'un instant à l'autre, il y avait des ondes négatives dans l'air. On sent que quelque chose de très grave va se passer mais on ne sait pas ce que c'est. J'aimais cette lecture mais je ressentais le besoin de faire des pauses souvent, question de reprendre mon souffle, parce qu'on ne sait jamais quand ça va nous tomber dessus...
L'histoire se déroule dans les années 1860... entre la France et le Japon. Hervé Joncourt est un commerçant de soie qui va effectuer plusieurs voyages au Japon pour se procurer des œufs de vers à soie. Il sera accueilli par un maître japonais, à côté de lui, une jeune femme allongée et la tête posée sur ses genoux, elle n'avait pas des yeux d'orientale...
Je ne vous en dis pas plus, je vous laisserai le soin de le découvrir et de vivre votre propre expérience avec cette histoire. J'ai essayé de vous transmettre ici mon ressenti et voici une belle analyse qui vous donnera certainement envie de vous y mettre...
Voici une autre chronique sur ce livre...
1 commentaire:
Un beau coup de coeur pour ce livre ^^
Enregistrer un commentaire