Je ne sais pour quelle raison j'ai attendu autant de temps avant de rédiger cette chronique. J'ai fini cette lecture il y a un peu plus de deux semaines, et je crois que j'attendais de m'en remettre avant de pouvoir vous en parler, avec un certain détachement.
Voici un autre roman que j'ai découvert grâce à La Grande Librairie sur France 5. Je l'avais déjà remarqué parmi les sorties de cette rentrée littéraire, notamment attirée par sa couverture qui se distinguait des autres. Hélène Frappat est une femme spéciale, qui n'a pas froid aux yeux lorsqu'elle affirme croire au surnaturel, aux fantômes, et aux maisons hantées...
Le roman commence par une scène mystérieuse qui annonce le ton de celles qui vont suivre. Laura, agent immobilier, est en train de faire visiter un appartement à un couple et son enfant, lorsque ce dernier en un clin d’œil, disparaît. La porte est fermée, les fenêtres le sont aussi, pourtant il n'est nulle part.
Laura est aussi obsédée par une maison qui revient souvent hanter ses rêves. Cette maison l'appelle, lui parle, lui confie des secrets... Bientôt rêve et réalité ne feront plus qu'un.
Cette histoire c'est aussi l'histoire d'une maladie, la Chorée de Huntington, cette maladie héréditaire et mortelle qui fait perdre leur équilibre aux malades. Leur équilibre physique d'abord, puis psychique. Son père étant mort de cette maladie, Laura vit dans l'angoisse et le doute, a-t-elle hérité de ce gène ou alors serait-ce sa sœur ? Son père rêvait-il aussi de cette maison avant de mourir ?
La plume d'Hélène Frappat est magnifique, très poétique, des pensées profondes et plein de jeux de mots. Tout ce que j'aime. Mais c'est aussi une lecture angoissante, j'en ai fait des cauchemars, les pires de ma vie... J'ai eu l'impression que cette auteur s'adressait directement à mon subconscient en la lisant. J'ai ressenti un lien fort naître entre elle et moi. C'était une lecture étrange, qui m'a plongée dans un univers qui a fini par me peser... J'avais hâte d'en finir et de quitter ce monde... pourtant c'est une excellente lecture et une des plus belles plumes auxquelles j'ai eu le plaisir de goûter cette année.
Voici un autre roman que j'ai découvert grâce à La Grande Librairie sur France 5. Je l'avais déjà remarqué parmi les sorties de cette rentrée littéraire, notamment attirée par sa couverture qui se distinguait des autres. Hélène Frappat est une femme spéciale, qui n'a pas froid aux yeux lorsqu'elle affirme croire au surnaturel, aux fantômes, et aux maisons hantées...
Le roman commence par une scène mystérieuse qui annonce le ton de celles qui vont suivre. Laura, agent immobilier, est en train de faire visiter un appartement à un couple et son enfant, lorsque ce dernier en un clin d’œil, disparaît. La porte est fermée, les fenêtres le sont aussi, pourtant il n'est nulle part.
Laura est aussi obsédée par une maison qui revient souvent hanter ses rêves. Cette maison l'appelle, lui parle, lui confie des secrets... Bientôt rêve et réalité ne feront plus qu'un.
Cette histoire c'est aussi l'histoire d'une maladie, la Chorée de Huntington, cette maladie héréditaire et mortelle qui fait perdre leur équilibre aux malades. Leur équilibre physique d'abord, puis psychique. Son père étant mort de cette maladie, Laura vit dans l'angoisse et le doute, a-t-elle hérité de ce gène ou alors serait-ce sa sœur ? Son père rêvait-il aussi de cette maison avant de mourir ?
La plume d'Hélène Frappat est magnifique, très poétique, des pensées profondes et plein de jeux de mots. Tout ce que j'aime. Mais c'est aussi une lecture angoissante, j'en ai fait des cauchemars, les pires de ma vie... J'ai eu l'impression que cette auteur s'adressait directement à mon subconscient en la lisant. J'ai ressenti un lien fort naître entre elle et moi. C'était une lecture étrange, qui m'a plongée dans un univers qui a fini par me peser... J'avais hâte d'en finir et de quitter ce monde... pourtant c'est une excellente lecture et une des plus belles plumes auxquelles j'ai eu le plaisir de goûter cette année.